#Laurent Dehors
Explore tagged Tumblr posts
caviarsonoro · 9 months ago
Video
youtube
Knight Owl
La mañana mueve la piedra sin raíz
su reposo de  årbol en flor.
Cualquier astro  es menos que el reposo
de una piedra en  flor.
Daniel Faria
5 notes · View notes
aurevoirmonty · 5 months ago
Text
Tumblr media
« La gauche aurait-elle oubliĂ© que le rire naĂźt d’une distorsion avec le rĂ©el, d’un dĂ©calage, d’une mise Ă  distance. Le rire est forcĂ©ment transgressif, subversif, repoussant toujours plus loin les limites du dicible et de l’indicible. C’est d’ailleurs dans les marges de la contre-culture, loin de l’ORTF gaulliste et de son ministĂšre de l’Information, que le rire soixante-huitard a vu le jour, grinçant, adolescent, dĂ©sacralisateur. C’étaient les enfants gĂątĂ©s de la sociĂ©tĂ© de consommation qui se rĂ©voltaient contre les blagues Ă  papa, le sĂ©rieux de papa, la cravate de papa. En sont sortis Hara-Kiri, Charlie Hebdo, L’Écho des savanes, Fluide glacial
 Mais aujourd’hui, l’ORTF, c’est France Inter ; et pour retrouver l’esprit d’Hara-Kiri, de L’Écho des savanes, de Fluide glacial, mieux vaut ouvrir La Furia que l’ex-journal de Philippe Val. France Inter a recyclĂ© l’« esprit Canal » et sa grande messe du rire, d’Antoine de Caunes Ă  Charline Vanhoenacker, de LĂ©nine Ă  Lennon, de Marx Ă  Groucho, en affichant ce ton dĂ©calĂ© propre Ă  la bourgeoisie-bohĂšme et Ă  la nouvelle sociologie Ă©lectorale de la gauche. Telle aura Ă©tĂ© la fonction et l’onction de ce nĂ©o-rire, hier de Canal ; aujourd’hui, de France Inter. À l’instar d’un Jean-Michel Ribes, volumineux poussah de la scĂšne, faire passer le « rire de collaboration » pour du « rire de rĂ©sistance » Ă  l’époque de l’« intĂ©grisme de la rigolade », comme l’avait remarquĂ© François L’Yvonnet dans son Homo comicus (Mille et une nuits, 2012). Ne serait-ce pas la « droite » qui a relevĂ© l’étendard de la contestation ? De Pepe the Frog Ă  « Je partira pas », du compte X de Sardine Ruisseau Ă  « AuslĂ€nder raus ! » (« Les Ă©trangers dehors »), de Papacito Ă  Marsault, de Gaspard Proust Ă  OSS 117 (plutĂŽt qu’à Jean Dujardin, qui ne rĂ©pond pas), du Raptor Ă  Laurent Gerra (« Anar de droite ? C’est plutĂŽt un compliment ! »), l’insolence se porte bien mieux Ă  droite. »
François Bousquet in revue Eléments 209
3 notes · View notes
alain-keler · 2 years ago
Text
Tumblr media
Samedi 17 juin 2023, vers 17 heures 30.
  PrĂšs de Lourmarin, Vaucluse, oĂč se dĂ©roule la deuxiĂšme Ă©dition de la manifestation photographique « RĂ©flexivitĂ©(s)»*.
  Isabelle Liv, avec qui je partage une exposition**, conduit. Je photographie. C’est une manie. Non, une passion. Il se passe toujours quelque chose sur une route, jour et nuit.
  Ce samedi il fait chaud, cette chaleur du sud-est  accompagnĂ©e d’une lumiĂšre un peu trop blafarde Ă  mon goĂ»t. Elle sïżœïżœïżœadoucira dans une bonne heure, peut-ĂȘtre deux. À l’heure de l’apĂ©ro. Ce n’est pas un hasard. Une femme Ă  vĂ©lo, toute de blanc vĂȘtue longe la route. L’instant sera court, le temps d’une seule image.
  Je vous invite, au moins pour ceux qui habitent le sud, Ă  vous rendre Ă  la fruitiĂšre numĂ©rique, oĂč onze expositions vous attendent. La douziĂšme, celle de Hans Silvester a trouvĂ© refuge Ă  l’espace Albert Camus. Le programme complet se trouve dans le lien qui accompagne ce petit billet
*https://www.reflexivites.com
** ALAIN KELER & ISABELLE LIV - Les vies au-dehors – avec un texte de SĂ©bastien Minaux - Victor Hugo
DOLORÈS MARAT - L’instant passĂ©
Texte de Line Papin
 ALAIN KELER & ISABELLE LIV - Les vies au-dehors
SĂ©bastien Minaux - Victor Hugo
 HANS SILVESTER - Jouer à l’ombre des arbres
Yvan Audouard
 ESTELLE LAGARDE - HélÚne
Brigitte Patient
 BETTINA PITTALUGA - intime
Simon Johannin
 LAURENT WEYL - President Hotel
Sabrina Rouillé
 LOUIS WITTER - Calais London Calling
Halina Cumft-Niementowska Pobog
 FÁBIO BOUCINHA - Enfants de nos quartiers
Luna Moriceau
 LAËTITIA VANÇON - At the end of the day
Kevin MacNeil
ALINE DESCHAMPS- A life after Kafala
lisa luxx
 ALEX KEMMAN - Only the birds still cross
3 notes · View notes
davidfakrikian · 2 years ago
Text
DVDvision - La Collection Épisode 6
L'histoire de DVDvision vol.1 continue ! Et voici l'Ă©pisode 6 de la sĂ©rie, quand un journaliste a chutĂ© Ă  travers une lucarne, et le magazine a failli complĂštement s'arrĂȘter !
Tumblr media
Numéro 6 - Septembre 2000 - 
100 pages
Editeur : Seven Sept
Directrice de publication : Véronique Poirier 
Rédacteur en chef : David Fakrikian
Rédacteurs principaux : Yannick Dahan, Christophe Lemaire, Stéphane Lacombe, François Jamin, Benjamin Rozovas, Rafik Djoumi, David Martinez, Sandy Gillet, Nicolas Saada, Nicolas Rioult, Luc Vigoureux.
Sommaire : Spielberg en DVD, Le 13e guerrier version intégrale ?, Dario Argento, Laurent Bouzereau, Chapeau Melon et Bottes de Cuir.
DVD : Le court métrage Daena.
Notes : Droit dans le mur ! Ce numĂ©ro a bien failli ĂȘtre le dernier. Pendant sa conception nous perdons le maquettiste Philippe Lambert, qui craque et dĂ©cide de partir faire de la presse ailleurs, mais au dernier moment, quand il n'est quasiment plus possible de le remplacer ! Alors que reprend le cercle infernal des candidats Ă  la direction artistique, le temps passe, et passe, et passe encore... jusqu'Ă  ce qu'il ne reste plus que 4 jours avant de rendre le produit fini, sous peine de rater la date de parution. Ce qui n'est pas envisageable, puisque le DVD, qui est un spĂ©cial Clint Eastwood, et qui comprend un court-mĂ©trage en 5.1, Daena, est dĂ©jĂ  pressĂ© ! 
Tumblr media
La jaquette du DVD spécial Clint !
En l'absence de tout candidat sérieux à la maquette, nous décidons donc de nous adresser à une agence intérimaire, qui relÚve le défi de réaliser l'intégralité de la maquette en 3 jours, secrétariat de rédaction compris. Je vous laisse imaginer l'enfer et la pression...
Tout ça en est trop pour le pauvre Leonard Haddad, qui au cours d'une pause-cigarette, tombe par inadvertance à travers une lucarne en verre, et va s'écraser trois mÚtres plus bas, détruisant une partie du matériel informatique et mobilier de la société qui a accepté de nous aider !  Un accident qui déclenche la fureur du dirigeant, qui entretenait un espoir de travailler réguliÚrement sur le magazine, espoir qu'il voit réduit en autant de miettes que les débris de la vitre à travers Leonard est passé. Heureusement, l'aventureux et indestructible journaliste n'en tirera que quelques contusions et égratignures...
Cette sĂ©rie d'Ă©vĂ©nements, et le stress qu'ils entrainent, (mĂȘme si en y repensant des annĂ©es aprĂšs, c'est trĂšs drĂŽle !), m'emmĂšnent au bord du dĂ©couragement. Il faut dire que l'annĂ©e a Ă©tĂ© (trop) riche en rebondissements cĂŽtĂ© coulisses. L'Ă©ditorial parait arrogant, mais ce n'est que du flan. En dehors des ventes, plutĂŽt bonnes, le manque de structure du magazine en fait une revue en perpĂ©tuel sursis, surtout sans personne de stable Ă  la maquette, et ceci au bout d'un an d'existence ! 
Pourtant, Ă  y regarder de prĂšs, le numĂ©ro n'a pas a rougir des prĂ©cĂ©dents, bien au contraire : il marque le premier gros papier de Benjamin Rozovas qui, mĂȘme s'il collaborait au magazine depuis le dĂ©but, n'avait pas eu l'occasion de se faire la plume sur un dossier aussi intĂ©ressant que celui qu'il livre sur la version initiale du 13e Guerrier de John Mc Tiernan. Un dossier qui remportera l'adhĂ©sion des lecteurs, et justifiera son embauche Ă  temps plein dans le journal plus tard. Rafik Djoumi s'Ă©clate dans un dossier Spielberg en bĂ©ton (Le Seigneur des anneaux n'Ă©tait pas encore sorti). StĂ©phane Lacombe commence de son cĂŽtĂ© Ă  vraiment poser les bases de la rubrique Zone Interdite, qui deviendra rapidement l'une des meilleures du magazine, avec un parti pris des cinĂ©matographies bis et cultes poussĂ© Ă  l'extrĂȘme. 
Tumblr media
News du site DVDfurax sur notre stand au Mondial 2000. On peut voir sur la photo derriĂšre le stand Ă  gauche Catherine Lucet, la monteuse du mag, et Ă  droite, Christelle Gibout, la responsable Ă©ditoriale du DVD.
Suite au bouclage, vu les difficultĂ©s, je songe Ă  tout arrĂȘter, mais plusieurs Ă©vĂ©nements vont me faire changer d'avis. Tout d'abord lors de notre sĂ©jour au Salon du Son et de l'Image 2000, en septembre, notre stand est littĂ©ralement assailli par une horde de fans dĂ©chainĂ©s, qui nous arrachent des rayons tous les anciens numĂ©ros, et nous demandent de continuer sans rien changer. Ensuite, une grande partie des rĂ©dacteurs des autres journaux ayant un stand au Salon, qui passent Ă  un moment ou Ă  un autre, (discrĂštement) nous demander si on embauche ! Et puis finalement la direction de Seven Sept, qui Ă  l'heure du bilan, me convoque. Vu tout ce qui s'est passĂ©, je m'attend Ă  ce qu'ils m'annoncent qu'ils arrĂȘtent tout. Mais ils vont me dire... non pas qu'ils ont dĂ©cidĂ© d'arrĂȘter, mais au contraire, que nous allons quitter notre couloir avec trois bureaux, dĂ©mĂ©nager d'un Ă©tage, pour des locaux Ă  nous tous seuls, et embaucher de nouveaux collaborateurs !
Et enfin je ne le sait pas encore, mais j'ai déjà rencontré LA future directrice artistique du magazine, Sandra Abreu, qui m'a été présentée par Karine Poirier. Embauchée au départ pour travailler sur l'habillage graphique et les menus du DVD, elle va trÚs rapidement se retrouver aux commandes de la section maquette du magazine, et jusqu'au bout de l'aventure. Mais ceci est une autre histoire, celle du prochain numéro... 
La citation de ce numéro : "Je sais pas ce qui m'a pris, j'ai mis le pied sur la vitre, et je suis passé à travers"  (Leonard Haddad - aout 2000)
copyright © David Fakrikian 2006-2008 / DVDvision.fr
2 notes · View notes
birkinscold · 3 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Kiara Goldwlier Wick'Saint Montvolier-KravtsĂžv est nĂ©e dans une pittoresque ville de Russia le 23 octobre 2000. Fille d'une talentueuse actrice russe et d'un styliste danois de renom, Kiara a grandi entourĂ©e d'art et de mode. DĂšs son plus jeune Ăąge, elle a manifestĂ© un intĂ©rĂȘt remarquable pour l'univers de la mode, rĂȘvant un jour de dĂ©filer pour Yves Saint Laurent et Victoria's Secret.
DĂ©terminĂ©e Ă  rĂ©aliser ses rĂȘves, Kiara a travaillĂ© sans relĂąche, perfectionnant sa posture et son talent de mannequin. Son engagement et sa dĂ©votion lui ont permis de rĂ©aliser les objectifs qu'elle dĂ©sirait tant, dĂ©filant sur les prestigieux podiums qu'elle avait toujours admirĂ©s.
Une fois ces objectifs atteints, elle a compris que son histoire ne faisait que commencer, car elle abritait dans son cƓur le dĂ©sir de devenir Ă©galement actrice.
InspirĂ©e par sa mĂšre et motivĂ©e par la mĂȘme passion qui l’a menĂ©e au succĂšs sur les podiums, Kiara s'est plongĂ©e dans le monde du cinĂ©ma.
Dotée d'un talent naturel et d'un charisme unique, elle a décroché des rÎles importants dans des films et des séries télévisées, gagnant la reconnaissance du public et de la critique. Sa carriÚre d'actrice a fleuri, démontrant au monde sa polyvalence et son dévouement aux arts.
En plus de son travail dans le cinĂ©ma et la mode, Kiara est une fervente dĂ©fenseuse de causes sociales. Elle participe frĂ©quemment Ă  des campagnes promouvant l'inclusion et la diversitĂ© dans l'industrie de la mode, utilisant sa plateforme pour inspirer les jeunes Ă  s'accepter tels qu'ils sont. Sa voix est devenue un symbole de renforcement personnel, en particulier pour les jeunes filles rĂȘvant de carriĂšres artistiques.
En dehors des projecteurs, Kiara aime mener une vie tranquille. Elle adore les glaces, notamment celles aux fruits exotiques comme le fruit de la passion et la mangue, et s'Ă©merveille devant la dĂ©licatesse des tulipes blanches et roses. Chez elle, elle partage des moments de bonheur avec ses deux chiens, Zeus et Simba, qui l’accompagnent dans toutes ses aventures.
Quand elle n'est pas sur les plateaux ou les podiums, Kiara aime passer du temps Ă  regarder sa sĂ©rie prĂ©fĂ©rĂ©e ou se perdre dans les pages d'un bon livre — gĂ©nĂ©ralement des romans classiques ou des histoires de dĂ©passement personnel.
Kiara est également une musicienne passionnée ; elle joue de la guitare et compose fréquemment des chansons inspirées de ses expériences personnelles. Ce talent artistique supplémentaire enrichit encore plus son expression créative.
Kiara est un exemple Ă©clatant de la maniĂšre dont suivre ses rĂȘves peut mener Ă  une vie accomplie et Ă©panouie. Son parcours prouve qu'avec dĂ©termination et passion, il est possible de conquĂ©rir l'impossible et de trouver toujours de nouveaux rĂȘves Ă  rĂ©aliser. Et ainsi, son voyage continue — une vĂ©ritable Ă©toile montante, aussi bien sur les podiums que sur les Ă©crans.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
1 note · View note
latribune · 4 months ago
Link
0 notes
ambipolis · 4 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media
Lundi 23 septembre 2024
Le gouvernement de Michel Barnier  : accouchement difficile 
Le gouvernement de Michel Barnier a Ă©tĂ© constituĂ© et annoncĂ© samedi. Accouchement difficile, tout ça pour ça ? Pour retarder l’issue fatale ?
Les passations de pouvoirs ont eu lieu de telle sorte que le premier conseil des ministres  puisse  se tenir  le  lundi 23 septembre avant le dĂ©part du prĂ©sident pour les États-Unis.
Le discours de politique générale est prévu le premier octobre juste aprÚs la date limite pour la transmission aux assemblées parlementaires du projet de loi de finances 2025.
Je ne retiendrai dans ce texte que  le refus de Laurent Wauquiez pour Bercy et la nomination de Bruno Retailleau au ministĂšre de l’IntĂ©rieur. Un Ă©quilibre subtil pour ĂȘtre Ă  la fois dedans et dehors, mĂȘme si Laurent Wauquiez assure que le Premier ministre pourra compter sur son soutien
 pour  le moment.
Je reviendrai par la suite sur l’attitude du MoDem et de François Bayrou, sur d’autres nominations et  sur les rĂ©actions du Rassemblement national.
Sachant que derriĂšre le prĂ©sident, le Premier ministre, les ministres, les directeurs d’administration centrale se profile l’ombre d’Ursula von der Leyen.
François BAUDILLON *
0 notes
omagazineparis · 9 months ago
Text
5 plateformes vidéos alternatives à Netflix
En deux mois de confinement, vous avez sans doute regardĂ© la plupart des sĂ©ries, films et documentaires qui vous intĂ©ressent sur Netflix. Les cinĂ©mas vous manquent et vous ne savez plus quoi regarder en streaming ? Pourtant, Netflix n’est pas la seule plateforme de vidĂ©o en ligne et de nombreux sites proposent des alternatives toutes aussi intĂ©ressantes. Souvent moins chĂšres et proposant un type de contenu particulier, ces plateformes n’ont rien Ă  envier Ă  Netflix. Mubi, pour les grands films classiques Mubi c’est LA plateforme idĂ©ale pour tous nos cinĂ©philes exigeants. Originellement appelĂ© "The Auteurs", le site web sorti en 2007 propose des films d’auteurs cultes, indĂ©pendants, oubliĂ©s ou remarquĂ©s dans les festivals. De quoi renforcer votre culture cinĂ©matographique, que ce soit avec l’oeuvre de grands rĂ©alisateurs ou avec des courts-mĂ©trages expĂ©rimentaux. En plus de proposer du contenu en streaming, Mubi permet d'interagir avec les autres amateurs de cinĂ©ma abonnĂ©s. Notez, commentez, crĂ©ez des listes de recommandation ou dĂ©battez sur le dernier film sorti sur la plateforme. Vous ne retrouverez le systĂšme de fonctionnement de Mubi nul part ailleurs ! La plateforme dispose d’une sĂ©lection de 30 films Ă  regarder en continu. Chaque jour, un nouveau film est ajoutĂ© et un autre est enlevĂ©. Une bonne nouvelle pour celles et ceux qui passent plus de temps Ă  choisir un film Ă  qu’à le regarder. Vous pourrez profiter de ces rĂ©fĂ©rences du cinĂ©ma pour 8,99 euros par mois, comme quoi le renforcement de sa culture cinĂ©matographique n’est pas si cher ! La Cinetek, suivre les goĂ»ts des plus grands rĂ©alisateurs Que diriez-vous d’une plateforme qui propose des listes de films uniquement sĂ©lectionnĂ©s soigneusement par de grands rĂ©alisateurs ? La Cinetek a Ă©tĂ© pensĂ©e par trois grands rĂ©alisateurs du cinĂ©ma français : CĂ©dric Klapisch, Laurent Cantet et Pascale Ferran. Nostalgiques des cinĂ©-clubs d’autrefois, ils ont crĂ©Ă© une plateforme qui permet aux cinĂ©astes du monde entier de partager leur cinĂ©mathĂšque idĂ©ale. Vous y retrouverez donc des grands chefs d’oeuvre du cinĂ©ma, du plus classique au plus personnel. Pour seulement 2,99 euros vous aurez accĂšs Ă  10 films par mois, soit 120 films par an pour 30 euros ! TĂ«nk, la plateforme de documentaires d'auteurs TĂ«nk, c’est la premiĂšre plateforme vidĂ©o dĂ©diĂ©e aux documentaires d’auteurs uniquement. Selon ses crĂ©ateurs, le but de TĂ«nk est de « faire dĂ©couvrir ou redĂ©couvrir des documentaires exceptionnels qui ne rencontraient plus leur public, faute de diffusion en dehors des festivals, des Ă©coles et des cercles d’initiĂ©s ». Le contenu que vous y retrouverez est sĂ©lectionnĂ© par les professionnels du documentaire, variant rĂ©guliĂšrement les films disponibles. Vous pourrez regarder le documentaire qui vous chante en filtrant vos recherches selon la durĂ©e, la catĂ©gorie ou l’annĂ©e de sortie.L’accĂšs Ă  l'intĂ©gralitĂ© du contenu de TĂ«nk est disponible avec un abonnement de 6 euros par mois seulement ! A lire : Monter en compĂ©tence numĂ©rique grĂące Ă  Google ImagoTv, la plateforme vidĂ©o dĂ©diĂ©e Ă  la transition Ă©cologique Si vous voulez toujours en savoir plus sur la transition Ă©cologique, rendez-vous sur le site d’ImagoTv ! Les documentaires, les web-sĂ©ries, Ă©missions, courts-mĂ©trages et podcasts ont tous un point commun : la vulgarisation de l’enjeu Ă©cologique auquel nous faisons face. Vous y retrouverez aussi bien les documentaires les plus connus comme Home de Yann Arthus-Bertrand que les podcasts les plus indĂ©pendants comme Vrac. Pour visionner ou Ă©couter le contenu de la plateforme, c’est gratuit ! Et oui, les crĂ©ateurs de la plateforme prĂŽnent l’importance de l’information. Vous n’avez plus d’excuses pour ne pas ĂȘtre au courant des alternatives Ă©cologiques possibles. Cultivons Nous, pour dĂ©couvrir le mode de vie des agriculteurs FraĂźchement crĂ©Ă©e, la chaĂźne de tĂ©lĂ©vision en ligne Cultivons Nous donne de la visibilitĂ© sur les conditions de travail des agriculteurs. CrĂ©Ă©e par le rĂ©alisateur de Au nom de la Terre, la plateforme suit les traces du film Ă  succĂšs. Ayant pour parrain Guillaume Canet, le site web propose un contenu pĂ©dagogique pour les petits et pour les grands. Tout les sujets sont portĂ©s sur le chemin de ce que nous consommons, de la terre Ă  l’assiette. Cultivons Nous transmet un message qui demande une meilleure considĂ©ration du mĂ©tier d’agriculteur, de consommer local et d'agir Ă©co responsablement. Pour avoir accĂšs au contenu il faudra dĂ©bourser la modeste somme de 4,99 euros. Pour chaque abonnement, 1 euro est reversĂ© Ă  l’association SolidaritĂ© Paysans. C’est une bonne nouvelle, vous ne serez pas contraints de regarder pour la Ă©niĂšme fois la cĂ©lĂšbre sĂ©rie Friends sur Netflix ! Rendez-vous sur ces plateformes pour dĂ©couvrir de nouveaux films, documentaires et courts-mĂ©trages. N'hĂ©sitez pas Ă  nous faire un retour sur vos plateformes vidĂ©os prĂ©fĂ©rĂ©e sur Twitter. Read the full article
0 notes
jeanetjeannepatin · 1 year ago
Text
Tumblr media
Mercredi 20 décembre 2023  à 19H, nouvelle émission de la Petite Boutique Fantasque avec une nouvelle chronique de Marius Pinel, la quarante-deuxiÚme. Que le temps passe vite ! Cette émission a été enregistrée et montée au studio de RadioRadioToulouse et diffusée en hertzien, Toulouse : 106.8 Mhz ou en streaming https://www.radioradiotoulouse.net/ et pour tout le reste du temps sur les podcasts de mixcloud.
Programmation musicale :
1) C'est la vie (Samarabalouf) 2) Encore une journée d'foutue (Jacques Higelin) 3) Santa's workshop (John Zorn) 4) Sur mon épaule (Les cowboys fringants) 5) Polka (Laurent Dehors) 6) Allegria (La foire aux chapeaux) 7) Iroise I Ar Mor (Benoßt Menut) Emmanuelle Bertrand
8) Le secret (Arthur H.) 9) Reflex (Edouard Ferlet) 10) Malédiction (Alain Bashung)
+ Chronique de l'univers place Pinel n°42  :Le parapluie du réel inverséPour ceux qui auraient piscine indienne, ou toute autre obligation, il y a une possibilité de rattrapage avec les podcasts de la PBF : https://www.mixcloud.com/RadioRadioToulouse/le-parapluie-du-réel-inversé-la-petite-boutique-fantasque/
Sus aux Philistins !
0 notes
swedesinstockholm · 1 year ago
Text
31 octobre
journĂ©e mi-figue mi-raisin Ă  paris avec un pivot Ă  la librairie violette & co vers midi quand j'ai feuilletĂ© le dernier numĂ©ro de censored et que je suis tombĂ©e sur un article dans lequel une fille parle de son coming out d'handicapĂ©e et son handicap c'est l'endomĂ©triose et une neuroatypie. elle parle de la norme dĂ©finie par la productivitĂ© capitaliste et d'une loi de 1957 qui dĂ©finissait une personne handicapĂ©e comme une personne ayant des difficultĂ©s Ă  acquĂ©rir et Ă  conserver un emploi Ă  cause d'une insuffisance ou d'une diminution physique ou mentale, et j'ai pensĂ© Ă  ma conversation avec f. dans l'escalier l'autre jour, elle disait qu'elle aimerait faire un diagnostic d'autisme pour pouvoir ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme handicapĂ©e et donc incapable de travailler Ă  plein-temps, pour recevoir des indemnitĂ©s. et tout d'un coup dans la librairie je me suis dit lara arrĂȘte de t'en vouloir de pas avoir rĂ©ussi Ă  te dĂ©cider d'aller voir l'expo sophie calle au musĂ©e picasso, c'est pas grave, c'est pas ma faute si mon cerveau dĂ©fectueux m'a minĂ©e toute la matinĂ©e et que ça m'a rendue incapable de prendre une dĂ©cision et que donc au lieu d'aller voir l'expo sophie calle j'ai errĂ© dans le marais derriĂšre m. et maman Ă  me sentir moche et grosse parce que je suis en train de reprendre mon corps d'avant le miracle de 2020, je grossis je grossis et je sais pas comment l'arrĂȘter. j'ai peur que ça s'arrĂȘte jamais. et en mĂȘme temps mon oeil est archi gonflĂ© et les gens me regardent dans la rue encore plus que d'habitude, j'ai essayĂ© des jolies lunettes transparentes qui m'allaient trop bien mais mon oeil gĂąchait tout parce que les montures transparentes le rendaient plus visible. et puis m. m'a dit qu'un inconnu sur internet, sans doute un de ses onlyfans ou de ses patreons, lui avait payĂ© son trajet en bus pour rentrer Ă  bruxelles vendredi, et ça a Ă©tĂ© la goutte d'eau. j'ai pas pleurĂ© ni rien mais je me suis enfoncĂ©e dans une vase poisseuse qui m'aspirait vers le bas, tout Ă©tait alourdi par la vase qui s'engouffrait dans chaque interstice, alourdi et laborieux, y compris la prise de dĂ©cision, beaucoup trop lourd, est-ce que je veux vraiment dĂ©penser quatorze euros pour aller voir une expo? et si j'aime pas? alors j'y suis pas allĂ©e.
j'ai quand mĂȘme rĂ©ussi Ă  m'arracher de maman et de m. et j'ai marchĂ© en direction de violette & co parce que les librairies sont mes phares dans la vase, jusqu'Ă  ce que je tombe sur la galerie perrotin au fond d'une cour, flanquĂ©e d'un double escalier trĂšs imposant, j'y suis rentrĂ©e par curiositĂ©, je me suis dit que ça compenserait pour l'expo sophie calle, et aprĂšs deux artistes bof j'ai dĂ©couvert laurent grasso dans la dĂ©pendance, de l'autre cĂŽtĂ© de la cour, dans une salle bleue ciel en forme de maison plongĂ©e dans l'obscuritĂ©. j'ai vu son film, des images de paysages sauvages en noir et blanc, magnifiques magnifiques images de nature et puis soudain un grand rectangle noir et plat plane dans le ciel et survole les paysages en projetant une ombre gigantesque sur les arbres, les feuilles, la roche, la mer, et la musique devient un peu menaçante. ça m'a complĂštement sortie de moi-mĂȘme. et puis je suis ressortie dehors et j'ai retrouvĂ© la rĂ©alitĂ© de mon corps et de ma vie dans la rue de turenne.
j'ai recommencĂ© Ă  marcher la mort dans l'Ăąme jusqu'Ă  violette & co. mais la librairie est encore trop neuve et j'y ai pas retrouvĂ© le charme de l'ancienne. j'Ă©coutais un mec qui expliquait Ă  la libraire le projet de son livre de photos d'un mec trans, lui Ă©tait photographe et cis (il l'a dit d'un ton un peu autodĂ©prĂ©ciatif) et la libraire lui demandait combien il prenait en pourcentage et il a dit que son Ă©ditrice lui avait dit entre 30 et 40% et elle a dit oui nous aussi on propose ça gĂ©nĂ©ralement et ils se sont mis d'accord sur 35% et j'Ă©tais fascinĂ©e par la fluiditĂ© de leur conversation. en partant il a dit qu'il serait trĂšs fier et honorĂ© d'avoir son livre en vente chez violette & co. en ressortant de la librairie j'ai marchĂ© comme une fusĂ©e pour retourner dans le marais rejoindre maman et m. et je leur ai racontĂ© l'expo de laurent grasso et j'ai repris du poil de la bĂȘte. mĂȘme si j'ai continuĂ© Ă  me sentir monstrueuse toute la journĂ©e. paris a le don de me faire sentir moche grosse et mal habillĂ©e comme aucune autre.
hier j'Ă©tais censĂ©e aller voir l'expo sur les quatre artistes amĂ©ricains dont mike kelley et lee lozano Ă  la bourse de commerce mais j'ai Ă©tĂ© prise de dĂ©goĂ»t par la mention de françois pinault dans le nom du musĂ©e et j'ai dĂ©cidĂ© que de toute façon le meilleur musĂ©e c'Ă©tait la rue et j'ai continuĂ© Ă  marcher jusqu'Ă  la point de l'Ăźle de la citĂ©. j'avais surtout envie de m'assoir dans un cafĂ© et d'Ă©crire dans mon journal mais je l'avais pas avec moi. on a encore parlĂ© d'emploi et de cv hier pendant qu'on buvait un truc en terrasse prĂšs du palais royal Ă  cĂŽtĂ© d'un type anglais qui portait un pull et un bĂ©ret blancs crĂšme et qui buvait du vin rouge avec ses deux amis français qui lui disaient de lire moliĂšre parce que c'Ă©tait comique et le mec rĂ©pĂ©tait french it up man! you gotta french it up! m. a pris ma dĂ©fense en disant que les gens de la gĂ©nĂ©ration de maman pensaient qu'il suffisait d'envoyer des cv pour trouver quelque chose mais que ça marchait plus comme ça maintenant et elle parlait de tous les gens qu'elle connaissait qui arrivaient pas Ă  trouver de travail parce que c'est dur et je me suis dit que je trouverais jamais, ça va jamais arriver et j'arriverai jamais Ă  quitter maman et je verrai jamais le soleil. je m'en fous si je suis nĂ©gative puisqu'ĂȘtre positive ne sert absolument Ă  rien et en plus ça entraĂźne des sĂ©rieux cas de delulu.
2 novembre
j'ai l'impression d'avoir atteint une espĂšce de mur. tout ce que j'ai accompli depuis l'annĂ©e derniĂšre est toujours lĂ , mais j'ai l'impression d'avoir atteint la fin du palier et le prochain me semble impossible Ă  atteindre. j'ai envie de m'allonger par terre et d'abandonner. hier soir j'ai vu sur ig que c. b. qui gravite dans le cercle d'et caetera laissait sa chambre et une de ses deux colocs me suit sur ig et adore ma reprise de sexy sushi. le loyer c'est 700 euros charges comprises. comment je peux ĂȘtre sĂ»re que je vais trouver un travail pour payer 700 euros par mois et surtout, est-ce que je suis mentalement assez stable? elle est libre Ă  partir du 1er dĂ©cembre. le copain d'a. cherchait du travail aussi aprĂšs avoir laissĂ© tomber le conservatoire et en ce moment il est facteur. je lui ai demandĂ© des prĂ©cisions mais il faut le permis.
je parcours les offres d'emploi Ă  bruxelles et je vois vraiment pas ce que je pourrais faire Ă  part le truc de formatrice de français dans une sociĂ©tĂ© ferroviaire mais ce matin j'ai refusĂ© une offre de cours de français parce que je me suis dit que j'avais aucune idĂ©e de comment enseigner le français Ă  quelqu'un from scratch? c'Ă©tait un homme de 53 ans et j'avais trop peur qu'il me dĂ©nonce pour incompĂ©tence. je sais mĂȘme pas si je peux travailler lĂ -bas sans ĂȘtre inscrite comme rĂ©sidente en plus et apparemment ça prend des mois et des mois et des mois et plus ça va moins ça me semble faisable cette histoire. y a des murs partout. ce matin j'ai Ă©pluchĂ© toute la liste des psys pratiquant l'emdr au luxembourg et j'en ai retenu quatre dont une qui prenait plus de nouveaux patients non plus et j'ai peur que trouver une psy s'avĂšre aussi laborieux que de trouver un travail.
0 notes
holybridget · 1 year ago
Text
Laurent Berger
CFDT
Dans une banque
0 notes
olplus · 1 year ago
Photo
Tumblr media
Laurent Blanc dehors en attendant mieux ? Le Dauphiné
0 notes
pierrecarree · 2 years ago
Text
En formation : objectif 1, tout le monde dehors, c’est fait
AprĂšs l’introduction assez classique, nous avons fait de la gĂ©omĂ©trie dans l’herbe. VoilĂ  une salle de formation qui vit : tout le monde est parti faire des maths dans la nature. Je vous prĂ©sente aussi Laurent le rayon de cercle
 Et le centre du cercle, en petits bĂątons.
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
eldoradounvoyagesansfin · 2 years ago
Text
-Histoire / littĂ©raire ÉlĂ©ments biographiques sur l’auteur:
https://www.linternaute.fr/biographie/litterature/1775538-laurent-gaude-biographie-courte-dates-citations/
http://www.laurent-gaude.com/biographie/
Laurent Gaudé est un écrivain français contemporain, né le 6 juillet 1972 à Paris. Il est connu par ses romans, piÚces de théùtre et recueils de poésie. Gaudé remporte des nombreux prix littéraires et il est considéré comme l'un des écrivains les plus talentueux de sa génération.
Sa passion pour l'écriture le conduit a se consacrer à l'écriture littéraire.
Parmi les Ɠuvres les plus cĂ©lĂšbres de Laurent GaudĂ©, on trouve :
"La Mort du roi Tsongor" (2002) : Ce roman a été trÚs acclamé par la critique et a remporté le prix Goncourt des lycéens en 2002.
"Le Soleil des Scorta” (2004) : Ce roman a remportĂ© le prix Goncourt en 2004.
"Eldorado" (2006) : Ce roman, qui est Ă©galement l'une des Ɠuvres majeures de GaudĂ©, aborde la question des migrants et des rĂ©fugiĂ©s en Europe. Il suit le parcours de deux hommes, un Ă©crivain et un jeune migrant, Ă  travers le dĂ©sert et la mer dans leur quĂȘte d'un Eldorado meilleur.
L'Ă©criture de "El Dorado" de Laurent GaudĂ© est connue pour son style poĂ©tique et sa capacitĂ© de transmetre l'empathie pour ses personnages. GaudĂ© explore des thĂšmes universels tels que la quĂȘte de sens1, la justice, la violence et la rĂ©silience humaine. Son Ă©criture est aclamĂ©e grace Ă  sa beautĂ© lyrique2 et sa capacitĂ© Ă  donner vie Ă  des situations et des Ă©motions complexes.
En dehors de ces Ɠuvres, Laurent GaudĂ© a Ă©galement Ă©crit d'autres romans tels que "Le Tigre bleu de l'Euphrate" (2002), "Ouragan" (2010) et "Danser les ombres" (2015), ainsi que des piĂšces de thĂ©Ăątre et des recueils de poĂ©sie. Son travail est apprĂ©ciĂ© tant par le public que par la critique, et il continue d'ĂȘtre une voix importante de la littĂ©rature contemporaine en France.
1”QuĂȘte=Recherche,Poursuite”
2”Lyrique=ManiĂšre d'Ă©criture passionnĂ©e, poĂ©tique, de sentir, de vivre (but principal d'Ă©mouvoir le lecteur ou le spectateur en mettant accent a les Ă©motions et sentiments)”
Tumblr media
Joaquin Nuñez, Felipe Sierra
1 note · View note
leblogdemarinaetjm · 2 years ago
Text
Tumblr media Tumblr media
MARDI 30 MAI 2023 (Billet 1 / 3)
Samedi dernier nous Ă©tions invitĂ©s Ă  un anniversaire et n’avons donc pas pu voir la CĂ©rĂ©monie de clĂŽture du Festival de Cannes
 mais nous l’avions enregistrĂ©e. Et dimanche matin, au petit dĂ©jeuner, nous l’avons regardĂ©e.
Nous ne vous parlerons pas du PalmarĂšs qui, dĂ©jĂ  depuis des annĂ©es, Ă  de (trop) rares exceptions prĂšs, ne fait que nous dĂ©cevoir
 mais du discours de la laurĂ©ate, Justine Triet, qui a reçu la Palme d’Or. Il a beaucoup fait rĂ©agir dans le landernau politique, culturel
 et au 9 rue Saint-Christophe aussi et pas que !
________________________________
Mail reçu hier matin de Françoise (de G.) :
Cet article de JĂ©rĂŽme de VerdiĂšre (*) m’a beaucoup plu
 Excellente journĂ©e Ă  vous. Je vous embrasse. « Qu’a-t-on fait de mal au cinĂ©ma pour mĂ©riter ça ? L’autre soir, la rĂ©alisatrice Justine Triet, pour cĂ©lĂ©brer son bonheur (sic) de recevoir la Palme d’Or, n’a rien trouvĂ© de mieux que de dĂ©biter, visage fermĂ©, comme si on venait de lui annoncer que son Ă©picier bio avait rendu l’ñme, une tirade sinistre sur la rĂ©forme des retraites, applaudie bien entendu par une foule de comĂ©diens, de metteurs en scĂšne, de scĂ©naristes, de producteurs dont la robe de soirĂ©e ou le smoking vaut la moitiĂ© du PIB du BĂ©nin. Que s’est-il passĂ© pour que tout ce beau monde oublie qu’on ne lui demande qu’une chose : nous faire rĂȘver. Qu’est devenu ce Festival ? Une rĂ©union de syndic de copropriĂ©taires oĂč l’on parle points retraite... J’ai connu un temps oĂč, mĂȘme quand ça se passait mal, ça avait de la gueule. Ferreri, Mastroianni et Noiret hurlaient de rire quand ils se faisaient cracher dessus sur la Croisette pour avoir osĂ© faire « La grande bouffe ». Pialat faisait un bras d’honneur Ă  tout le Palais des Festivals qui le lui rendait bien en le huant copieusement. Et quand il n’y avait pas de scandales, il y avait la beautĂ© de Bardot et Delon, il y avait Tarantino, ivre de joie, qui dansait sur scĂšne avec Travolta, il y avait Roberto Benigni, fou de bonheur, qui embrassait les Berluti de Scorsese et, pour faire rire le monde entier, faisait mine de prendre son grand prix pour une palme d’or. Bref ! Ferreri, Pialat, Tarantino, Benigni et les autres ne se prenaient pas pour Laurent Berger ou Philippe Martinez, Ă  qui il ne nous viendrait pas Ă  l’idĂ©e de confier une camĂ©ra. Qui a vraiment envie qu'une rĂ©alisatrice se prenne pour Nicole Notat un soir comme celui-lĂ  ? On en vient presque Ă  regretter les annĂ©es Canal+ Ă  Cannes oĂč l’on confondait la Palme d’Or avec les Hot d’Or. C’était vulgaire mais au moins c’était rigolo. Alors on attendra l’an prochain pour, peut-ĂȘtre, retrouver ce que l’on croyait ĂȘtre le Festival du rĂȘve, de l’émotion, du rire et du glamour. Et pas un meeting de la CFDT. Entre temps, on trouvera bien au CĂ©sars et aux MoliĂšres quelques artistes engagĂ©s (surtout par l’OrĂ©al) pour nous faire rire
 jaune. »
(*) JérÎme de VerdiÚre : auteur de théùtre, metteur en scÚne, auteur et animateur humoristique.
________________________________
La Ministre de la Culture, Rima Abdul Malak, tout en fĂ©licitant Justine Triet, s’est dĂ©clarĂ©e sur Twitter « estomaquĂ©e par son discours si injuste ». « Ce film n’aurait pu voir le jour sans notre modĂšle français de financement du cinĂ©ma, qui permet une diversitĂ© unique au monde. Ne l’oublions pas », a-t-elle ajoutĂ©.
_________________________________
Du coup, comment ne pas se souvenir d’un rĂ©cent Ă©ditorial de Guillaume Roquette paru dans Le Figaro Magazine ? Lisez plutĂŽt
 et ce sera ensuite Ă  chacun de se faire son opinion. Nous, en dehors de ce qu’elle a dit sur les retraites, nous avons eu l’impression que cette rĂ©alisatrice crachait dans la soupe, ce qui est trĂšs mal-Ă©levĂ© et surtout trĂšs ingrat !
_________________________________
Une fois de plus, Sylvain Tesson parlait d’or. « La France est un paradis peuplĂ© de gens qui se croient en enfer », affirmait l’écrivain voyageur il y a quelques annĂ©es dĂ©jĂ . Le lamento actuel sur l’état de notre pays dĂ©montre une fois de plus combien il avait raison : Ă  en croire les syndicats et les responsables politiques de Gauche, le (modeste) report de l’ñge de la retraite nous ramĂšnerait au temps de Germinal, lorsqu’on se tuait littĂ©ralement au travail. « On nous vole deux ans de nos vies », crie-t-on dans les cortĂšges syndicaux entre deux concerts de casseroles. « 86 personnes sont dĂ©jĂ  mortes du travail en 2023 », claironne la France Insoumise. Et la catastrophe ne serait pas que sociale : « Nous traversons la crise dĂ©mocratique la plus grave depuis la fin du conflit algĂ©rien », dĂ©clare, sans rire, le cĂ©lĂšbre historien, Pierre Rosanvallon. Et Jean-Luc MĂ©lenchon de renchĂ©rir : « La Ve RĂ©publique est agonisante. »
Pour retrouver un semblant de sĂ©rĂ©nitĂ©, on ne saurait trop conseiller Ă  tous ces prophĂštes de malheur la lecture de la presse Ă©trangĂšre. Et plus particuliĂšrement britannique. « La France est-elle vraiment parti vers l’enfer ? » s’interrogeait le Guardian la semaine derniĂšre, avant de rĂ©pondre vigoureusement par la nĂ©gative. MĂȘme aprĂšs la rĂ©forme, rappelle notre confrĂšre, les Français partiront plus tĂŽt en retraite que tous les autres europĂ©ens. Ils vivent dans un des pays du monde oĂč le taux de pauvretĂ© chez les personnes ĂągĂ©es est le plus bas, le niveau de redistribution le plus Ă©levĂ©, l’espĂ©rance de vie la plus longue. « Prenez du recul », rĂ©ponds en Ă©cho The Economist, qui pourfend « le misĂ©rabilisme dĂ©cliniste » de l’opposition et dĂ©montre que nous sommes plutĂŽt bien lotis.
Malheureusement, le pessimisme n’est pas l’apanage des opposants à Emmanuel Macron. Il touche prùs des 3/4 des Français quand on les interroge sur leur avenir et plus encore sur celui de leurs enfants. Comme si les choses ne pouvaient aller que de mal en pis dans le futur. A y regarder de prùs, c’est bien la transformation du pays qui inquiùte nos compatriotes, davantage que leur situation actuelle.
Faut-il leur donner tort ? D’un point de vue social, oui. MĂȘme si elle est timide, la rĂ©forme des retraites sĂ©curise l’avenir de notre systĂšme par rĂ©partition. Et le niveau historiquement bas du chĂŽmage devrait permettre de maintenir Ă  flot les autres branches de la SĂ©curitĂ© Sociale. En revanche, on peut comprendre l’inquiĂ©tude de nos concitoyens sur l’avenir de la sociĂ©tĂ© française. La dĂ©gradation continue de nos services publics (Ă  commencer par l’école), la non-maĂźtrise des flux migratoires ou l’explosion de la dette publique sont autant de signaux d’alarme que l’on ne peut ignorer. PlutĂŽt que de dresser des barricades pour dĂ©fendre la retraite Ă  60 ans et autres chimĂšres d’un autre temps, ce sont ces dĂ©fis qu’il faut relever !
(Source : « Editorial de Guillaume Roquette dans le Figaro Magazine du 12 mai 2023 »)
0 notes
aurevoirmonty · 2 years ago
Text
Tumblr media
Il est amusant de constater que le mode de vie amĂ©ricain est, lui, quasiment inconnu en-dehors de l'AmĂ©rique. Peu de gens savent rĂ©ellement que quatre-vingt-dix-neuf pour cent des citoyens amĂ©ricains vivent dans la mort : ayant atteint depuis longtemps le dessein du modĂšle dĂ©crit, ils sont en Enfer dĂ©sormais. AprĂšs avoir quittĂ© leur travail, ils mangent un hamburger dans un des foodcourts Ă©maillant leur citĂ©, puis regardent le match de base-ball du jour sur leur tĂ©lĂ© ; le week-end, ils se rendent Ă  la fair du coin, assistant Ă  d'interminables rodĂ©os ou Ă  des courses de moissonneuses-batteuses. Allez donc en Caroline du Nord ! vous saurez de quoi je parle. MĂȘme Dantec n'a pu franchir le cap. Les AmĂ©ricains sont seuls. Ils n'ont que leurs yeux pour pleurer ; mais ils n'ont jamais eu de larmes.
Laurent James
1 note · View note